Avec des mots d’ordre tels que “Marre des abus” ou “Le Chili s’est réveillé”, diffusés sur les réseaux sociaux, le pays fait face à une des pires crises sociales depuis des décennies. Celle-ci a été déclenchée par la simple annonce d’une hausse du prix des tickets de métro, de 800 à 830 pesos (environ 1,04 euro).
Les revendications ont ensuite rapidement débordé sur d’autres sujets, comme un modèle économique où l’accès à la santé et à l’éducation ressortent presque uniquement du secteur privé.
Source: huffingtonpost
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